Millennium Insurance et l’assurance immobilier par la loi Hamon

Millennium Insurance et l’assurance immobilier par la loi Hamon

Savoir renégocier votre assurance-immobilier

Millennium Insurance Leader Souscription évoque un des points de la loi Hamon autour de la renégociation autour des contrats assurance immobilier. Mais de quoi parle-t-on? Il s’agit d’une obligation qui est de souscrire un assurance pour garantir le remboursement à la banque prêteuse du capital qui reste dû en cas de décès, d’invalidité ou d’incapacité de travail.

C’est une assurance très importante puisque pour le chef d’entreprise qui va acheter les locaux de son entreprise, c’est une assurance très chère et qui est obligatoire. Il fois savoir qu’en général, elle est proposée par la banque avec une offre complète. Millennium Insurance Leader Souscription rappelle que la banque essaie de vous faire souscrire à l’assurance qu’elle a proposée.

Depuis 2010, le législateur a essayé à plusieurs reprises de trouver un autre système pour faciliter le choix de l’assurance par l’emprunteur. Le but étant de faire accroître la concurrence et faire baisser les prix.

Evolution de l’assurance immobilier par la loi Hamon

Les choses ont évolué notamment grâce à la loi Hamon. Aujourd’hui, le code de la consommation vous permet dans les douze mois de la signature de cette offre de prêt, de résilier le contrat d’assurance-immobilier. Car au moment où vous signez le contrat d’acquisition de votre bien immobilier, de vos locaux cous avez probablement d’autres choses auxquelles penser que de négocier avec la compagnie d’assurance, le taux du contrat qu’on va vous offrir.

Maintenant, le législateur vous permet dans ce délai de douze mois de résilier votre contrat d’assurance-immobilier. Millennium Insurance Leader Souscription précise que vous avez tout le temps pour trouver une autre compagnie d’assurance qui cette fois, va vous proposer un contrat beaucoup plus intéressant.

Les règles à respecter

On ne peut pas complètement imposer la nouvelle assurance au banquier. Ce dernier a la possibilité de la refuser en considérant que cette nouvelle assurance n’offre pas les mêmes garanties. Donc il faut que les banques jouent le jeu de la concurrence.